Chez mes parents, dans leur bibliothèque, il y avait une traduction en français de Fharenheit 451 de l’américain Ray Bradbury. J’avais été plus ou moins directement encouragé à la lire. C’était un livre de poche. Un jour de mon enfance, passe à la télévision le film de François Truffaut Fharenheit 451. J’ai regardé le film en me disant en regardant le film, je vais voir ce que je rate en ne lisant pas le roman de Ray Bradbury. Le film m’a marqué car il s’agit de l’histoire d’une dictature où l’on brule les livres. Les pompiers brulent les livres dans cette dictature.
La fin du film m’a marqué et je me suis mis à lire plus de roman, moi qui lisait surtout des bandes dessinées. Dans la foulée du film, j’avais lu en une journée le roman de Ray Bradbury.
En 2020, j’ai regardé le DVD du film de François Truffaut. Et ce mois d’avril 2021, j’ai re-lu Fharenheit 451. Un détail que je ne pense pas avoir remarqué que Ray Bradbury dans Fharenheit 451 a fait beaucoup de descriptions, ce que permet la littérature.
Enfant, j’avais remarqué qu’il y avait des différence entre l’histoire du film et du roman. J’avais commencé à lire les romans dont était adapté les film qui passaient à la TV ou au cinéma.
Le film et le livre ont su rendre l’atmosphère d’un monde inquiétant.
Un roman qui fait lire d’autres romans comme un acte de résistance.