Les bibliothèques, un filon pour se cultiver avec peu de frais sans encombrer sa bibliothèque

Les bibliothèques publiques sont utiles à la société car elle permet à toutes les bourses de se cultiver à moindre de frais. Enfant, j’ai appris à lire dans la bibliothèque de mon quartier. Elle avait une section jeunesse avec des bandes dessinées, des livres des collections Bibliothèque Rose et Verte, des livres de Babar ou des Barbapapas, etc. Ma mère avait instauré un rituel d’une demi-heure chaque mercredi sur trois qui consistait à aller emprunter quelques livres à la bibliothèque du quartier. Elle nous laissait le loisir de choisir les livres que moi et mes frères empruntions.

J’ai lu Ray Bradbury, il a expliqué qu’il a consulté les bibliothèques toute sa vie dans son introduction à son 50ème tirage anniversaire anglophone de Farhenheit 451 qui est un roman de 1953. Ce roman dans sa version française m’a fait lire plus de livre à après avoir vu le film de François Truffaut adapté du livre de Ray Bradbury et avoir lu le roman tout de suite après avoir vu le film. Sa conclusion m’a marqué enfant..

On a apprend des choses à moindre frais voire gratuitement comme c’est le cas pour les habitant de Lille en France.A l’âge adulte, j’ai fréquenté récemment les médiathèques de Lille et emprunté des films et romans sans rien débourser car je suis Lillois et la ville de Lille permet des prêts gratuits à ses habitants.

L’an passé, en 2020, j’ai emprunté à Lille Autobiographie d’une Courgette du français Gilles Paris et La Rivière du sixième Jour de Norman Maclean, l’américain qui parle de ses souvenirs du Montana et de sa vie de famille dans ses jeunes années ponctuées par des parties de pêche à la ligne en famille non loin de Missoula. (Le titre en anglais de ce roman de 1976 est A river runs trough it.) Autobiographie d’une Courgette est un livre semi-autobiographique de l’auteur lorsqu’il était adolescent placé en France dans foyer pour jeunes en rupture familiale pour raison de décès de parents ou parents défaillants. Il évoque l’interaction entre jeunes du foyer et entre jeunes et éducateurs. Il y a plus de détail dans le livre que dans le film d’animation Ma vie de Courgette qui est empruntable à la médiathèque de Lille. J’ai vu le film en version originale sous-titrée en français de Robert De Niro tiré du roman de Norman Maclean cité plus haut et qui en français s’appelle Au milieu coule une rivière grâce à la médiathèque numérique de Lille.

Ayons le réflexe d’aller lire de temps en temps de livre dans les bibliothèques de sa ville ou son village. Si on est déçu du livre, ce qui est rare, on a pas déboursé une énorme somme pour lire ce livre.

Adolescent, je lisais les romans dont était adaptés les films qui passaient à la télévision ou au cinéma. J’ai toujours remarqué que dans les romans, il y a souvent plus de détails dans le roman que dans le film qui a été inspirée par le roman.