« Sans Famille » d’Hector Malot

Cette semaine, j’ai lu le roman « Sans Famille » d’Hector Malot.

C’est l’histoire d’un enfant qui ne connait pas ses parents qui s’appelle Rémi et qui vit au 19ème siècle en France. L’auteur a publié ce roman en 1878. Il fait donc partie du domaine publique. J’ai acheté le roman pour peu cher.

Dans le livre, Rémi raconte son enfance de vagabond à travers la France ainsi que l’Angleterre et la Suisse dans une moindre mesure. L’histoire raconte les rencontres de Rémi ainsi que son voyage. Il rencontre des gens bons et des pervers. Beaucoup de noms de lieux sont cités dans ce roman. Rémi gagnait sa vie en faisant des représentations dans la rue avec une harpe et des animaux. Rémi dans le roman n’est pas un ingrat.

Livre de « Sans Famille » d’Hector Malot.

J’ai aimé lire ce livre de 400 pages. J’aurais pu le lire via Gallica qui est la bibliothèque numérique française de la Bibliothèque Nationale Française. Mais des problèmes informatiques m’a compliqué le téléchargement du fichier numérique de l’œuvre. J’ai donc acheté ce livre pour moins de 6 Euros au Furet du Nord qui est une grande Libraire de Lille.

La lecture du livre m’a rappelé mon oncle André qui citait des phrases courtes de ce roman que j’ai aimé lors de mes randonnées avec lui. Quand j’étais enfant, il m’encourageait à le lire. Je l’ai lu à 41 ans. J’ai dévoré ses quelques 400 pages en une semaine en faisant des jours sans le lire et des jours en le lisant. J’aurais pu le lire en l’empruntant dans une bibliothèque. J’ai choisi de l’acheter.

Dans le chapitre 5, Hector Malot a fait dire au mentor de Rémi :

« Comprends aujourd’hui, mon garçon, que la vie est trop souvent une bataille dans laquelle on ne fait pas ce que l’on veut. »

Chapitre 5 de Sans Famille d’Hector Malot.

Au chapitre 6, Hector Malot fait dire au mentor de Rémi

« Apprends donc que dans la vie le paraître est quelquefois indispensable ; c’est fâcheux mais nous ne pouvons rien. »

Chapitre 6 de Sans Famille d’Hector Malot.

« Purge » de Sofi Oksanen, une lecture pour ma quarantaine en Belgique

Je fais une quarantaine en Belgique car c’est obligatoire pour ceux qui reviennent d’une zone « rouge » pour la Covid-19. Avant mon départ, j’ai regardé le 19 avril 2021 un reportage sur l’Estonie du roman Purge de Sofi Oksanen de la chaîne de télévision Arte dans l’émission Invitation au voyage.

En 2004, je suis allé à Tallinn, la capitale d’Estonie depuis Helsinki, la capitale de la Finlande. J’avais rencontré un américain qui m’avait montré des photos de Tallinn à l’auberge de jeunesse d’Helsinki. J’avais lu dans les guides touristiques qu’une escapade depuis Helsinki était Tallinn par bateau sur la mer baltique. Le guide touristique stipulait qu’on pouvait passer la frontière estonienne avec une carte d’identité française. J’ai donc vu Tallinn en 2004.

J’ai fini aujourd’hui la traduction en français de Purge, le roman de la finlandaise Sofi Oksanen dont son nom original est Puhdistus. Comme je me suis encouragé à consulter les bibliothèque sur ce blog et que Arte a fait la promotion de ce roman, je l’ai emprunté gratuitement à la bibliothèque de Lille.

Couvertue de Purge de Sofi Oksanen

Purge raconte l’histoire de la rencontre d’une femme Aliide qui fait connaissance avec une autre femme Zara qui a peur d’être retrouvée par des dénommés Pacha et Lavrenti. L’histoire principale se passe en 1992 avec des flashbacks notamment vers la deuxième guerre mondiale et les années 1950. Cette histoire qui se passe principalement en Estonie a été écrite 2008 et traduite en français en 2010.

Fharenheit 451, la lecture du mois d’avril 2021

Chez mes parents, dans leur bibliothèque, il y avait une traduction en français de Fharenheit 451 de l’américain Ray Bradbury. J’avais été plus ou moins directement encouragé à la lire. C’était un livre de poche. Un jour de mon enfance, passe à la télévision le film de François Truffaut Fharenheit 451. J’ai regardé le film en me disant en regardant le film, je vais voir ce que je rate en ne lisant pas le roman de Ray Bradbury. Le film m’a marqué car il s’agit de l’histoire d’une dictature où l’on brule les livres. Les pompiers brulent les livres dans cette dictature.

La fin du film m’a marqué et je me suis mis à lire plus de roman, moi qui lisait surtout des bandes dessinées. Dans la foulée du film, j’avais lu en une journée le roman de Ray Bradbury.

En 2020, j’ai regardé le DVD du film de François Truffaut. Et ce mois d’avril 2021, j’ai re-lu Fharenheit 451. Un détail que je ne pense pas avoir remarqué que Ray Bradbury dans Fharenheit 451 a fait beaucoup de descriptions, ce que permet la littérature.

Jaquette du DVD du film Fharenheit 451 et le roman de Ray Bradbury 451

Enfant, j’avais remarqué qu’il y avait des différence entre l’histoire du film et du roman. J’avais commencé à lire les romans dont était adapté les film qui passaient à la TV ou au cinéma.

Le film et le livre ont su rendre l’atmosphère d’un monde inquiétant.

Un roman qui fait lire d’autres romans comme un acte de résistance.

« Un homme heureux », un autre roman d’Arto Paasilinna.

En janvier, je me suis encouragé à fréquenter les bibliothèques. J’ai emprunté et lu Le lièvre de Vatanen et puis Prisonniers du Paradis. Ayant aimé ces romans, j’ai emprunté une troisième traduction d’un roman d’Arto Paasilinna : Un homme heureux dont le titre en finnois est Onnelinen mies.

Cette fois-ci, c’est l’histoire d’un ingénieur qui arrive dans le village de Kuusmäki. Il s’appelle Jaatinen. Il chargé de la construction d’un nouveau pont et s’invite au village. Il rencontre de la part de certains habitants de l’adversité. L’histoire raconte l’affrontement de Jaatinen de ces adversités. Elle se lit.

Si on envisage de lire plusieurs livre du romancier finlandais Arto Paasilinna, il vaut mieux lire d’abord Le lièvre de Vatanen avant Un homme heureux pour la continuité dans la lecture.

L’histoire a été écrite en 1976. J’ai aimé cette histoire qui se passe dans un village finlandais.

Couverture du roman Un homme heureux d’Arto Paasilinna.

« Prisonniers du Paradis », un roman d’Arto Paasilinna

Conformément à mon souhait de mon article sur le fait de consulter les bibliothèques pour se cultiver sans encombrer sa propre bibliothèque, j’ai emprunté un roman du finlandais Arto Paasilinna Prisonniers du paradis. C’est une traduction en français du roman en finnois Paratiisiaaren vangit. C’est un livre d’un de 1974 qui décrit une utopie sur une île avec des rescapés d’un crash de leur avion. Il décrit une vie en communauté et dans la nature. L’auteur fait référence à Robinson Crusoë de Daniel Defoe, que j’ai lu en 2020, mais dans l’histoire d’Arto Paasilinna, c’est un groupe d’hommes et de femmes de différentes nationalités qui se retrouvent prisonniers sur une île et qui y organisent la vie. Les nationalité son celle du Nord de l’Europe, Norvégiens, Suédois, Finlandais, et de quelques anglais.

L’histoire se lit et est par moment prenante. J’ai pris un faible risque d’être déçu en l’empruntant à la bibliothèque de Lille et je ne suis pas déçu. J’ai apprécié l’histoire.

J’ai à ce jour lu deux roman d’Arto Paasilinna ce mois de mars : Le lièvre de Vatanen et le livre cité plus haut. Deux histoires où il est question de vivre dans la nature hors des villes.

Je vais remettre le livre en circulation à la bibliothèque.

Le lièvre de Vatanen

J’ai suggéré en janvier de fréquenter les bibliothèques pour se cultiver. J’ai vu un reportage de la chaîne de télévision Arte sur la Finlande d’Arto Paasilinna avec comme fil conducteur son roman Janiksen vuosi de 1975 qui a été traduit en français sous le titre Le lièvre de Vatanen. J’ai entrepris de lire le livre via la bibliothèque de Lille afin de découvrir l’histoire vu dans le reportage de l’émission Invitation au voyage d’Arte. Je l’ai donc emprunté à la bibliothèque.

L’histoire raconte le parcours d’un finlandais nommé Kaarlo Vatanen qui a recueilli un lièvre. Il voyage a travers la Finlande en rencontrant des gens. Abandonne sa vie d’avant pour vagabonder en compagnie de son lièvre. C’est un livre dont la traduction française se lit avec plaisir.

J’ai apprécié la lecture de ce roman à moindre frais car emprunté à la bibliothèque de Lille dont le prêt est gratuit pour les lillois.

Week-end à Zuydcoote, un roman et un film.

J’ai fait récemment un article encourageant les gens à aller dans les bibliothèques publiques. Pendant le premier confinement de 2020, on commémorait l’opération Dynamo de la région de Dunkerque notamment par la diffusion sur la chaîne de télévision France 3 du film Week-end à Zuydcoote inspiré d’un roman de Robert Merle. Après avoir lu le film, j’ai mis dans un coin de ma tête l’idée de lire le roman. J’ai emprunté mercredi après-midi, le roman Week-end à Zuydcoote de Robert Merle de 1949 édité par Gallimard à la bibliothèque du Vieux-Lille. J’ai terminé ce roman qui raconte l’histoire d’un soldat français qui s’appelle Maillat est qui est dans la « poche de Dunkerque » pendant la deuxième guerre mondiale. Sur la côte d’Opale, les britanniques ont organisé le retrait stratégique en embarquant des soldat alliés de France vers le Royaume-Uni. Ce retrait stratégique est parfois appelé « Opération Dynamo ».

Couverture du livre emprunté à la bibliothèque.

J’ai fini le livre en peu de jours aujourd’hui. C’est un livre qui raconte l’histoire de soldats pendant la deuxième guerre mondiale entre Bray-Dunes et Zuydcoote. J’ai remarqué que Robert Merle dans son roman par les dialogues des personnages et des descriptions d’évènements a mis dans approximativement deux cents pages beaucoup d’événements guerriers qui a eu lieu pendant la deuxième guerre mondiale comme les explosions, les bombardements, un bateau coulé, des attaques de torpilleurs, des morts par balles, des combats au corps à corps, un viol, le fait que certains soldats ne savaient pas nager, des avions abattus … C’est un livre qui se lit. C’est un bon livre. Robert Merle utilise des mots d’argot comme biffin, tommy et Fritz. Dans mes souvenirs du roman, il nomme jamais les Allemands en les appelant « Allemands »; il parle de « Fritz ». Le roman a eu le prix Goncourt en 1949, l’année de sa publication. Je suis content d’avoir lu se livre sans dépenser d’argent car emprunté à la Bibliothèque de Lille.

Les bibliothèques, un filon pour se cultiver avec peu de frais sans encombrer sa bibliothèque

Les bibliothèques publiques sont utiles à la société car elle permet à toutes les bourses de se cultiver à moindre de frais. Enfant, j’ai appris à lire dans la bibliothèque de mon quartier. Elle avait une section jeunesse avec des bandes dessinées, des livres des collections Bibliothèque Rose et Verte, des livres de Babar ou des Barbapapas, etc. Ma mère avait instauré un rituel d’une demi-heure chaque mercredi sur trois qui consistait à aller emprunter quelques livres à la bibliothèque du quartier. Elle nous laissait le loisir de choisir les livres que moi et mes frères empruntions.

J’ai lu Ray Bradbury, il a expliqué qu’il a consulté les bibliothèques toute sa vie dans son introduction à son 50ème tirage anniversaire anglophone de Farhenheit 451 qui est un roman de 1953. Ce roman dans sa version française m’a fait lire plus de livre à après avoir vu le film de François Truffaut adapté du livre de Ray Bradbury et avoir lu le roman tout de suite après avoir vu le film. Sa conclusion m’a marqué enfant..

On a apprend des choses à moindre frais voire gratuitement comme c’est le cas pour les habitant de Lille en France.A l’âge adulte, j’ai fréquenté récemment les médiathèques de Lille et emprunté des films et romans sans rien débourser car je suis Lillois et la ville de Lille permet des prêts gratuits à ses habitants.

L’an passé, en 2020, j’ai emprunté à Lille Autobiographie d’une Courgette du français Gilles Paris et La Rivière du sixième Jour de Norman Maclean, l’américain qui parle de ses souvenirs du Montana et de sa vie de famille dans ses jeunes années ponctuées par des parties de pêche à la ligne en famille non loin de Missoula. (Le titre en anglais de ce roman de 1976 est A river runs trough it.) Autobiographie d’une Courgette est un livre semi-autobiographique de l’auteur lorsqu’il était adolescent placé en France dans foyer pour jeunes en rupture familiale pour raison de décès de parents ou parents défaillants. Il évoque l’interaction entre jeunes du foyer et entre jeunes et éducateurs. Il y a plus de détail dans le livre que dans le film d’animation Ma vie de Courgette qui est empruntable à la médiathèque de Lille. J’ai vu le film en version originale sous-titrée en français de Robert De Niro tiré du roman de Norman Maclean cité plus haut et qui en français s’appelle Au milieu coule une rivière grâce à la médiathèque numérique de Lille.

Ayons le réflexe d’aller lire de temps en temps de livre dans les bibliothèques de sa ville ou son village. Si on est déçu du livre, ce qui est rare, on a pas déboursé une énorme somme pour lire ce livre.

Adolescent, je lisais les romans dont était adaptés les films qui passaient à la télévision ou au cinéma. J’ai toujours remarqué que dans les romans, il y a souvent plus de détails dans le roman que dans le film qui a été inspirée par le roman.