Fharenheit 451, la lecture du mois d’avril 2021

Chez mes parents, dans leur bibliothèque, il y avait une traduction en français de Fharenheit 451 de l’américain Ray Bradbury. J’avais été plus ou moins directement encouragé à la lire. C’était un livre de poche. Un jour de mon enfance, passe à la télévision le film de François Truffaut Fharenheit 451. J’ai regardé le film en me disant en regardant le film, je vais voir ce que je rate en ne lisant pas le roman de Ray Bradbury. Le film m’a marqué car il s’agit de l’histoire d’une dictature où l’on brule les livres. Les pompiers brulent les livres dans cette dictature.

La fin du film m’a marqué et je me suis mis à lire plus de roman, moi qui lisait surtout des bandes dessinées. Dans la foulée du film, j’avais lu en une journée le roman de Ray Bradbury.

En 2020, j’ai regardé le DVD du film de François Truffaut. Et ce mois d’avril 2021, j’ai re-lu Fharenheit 451. Un détail que je ne pense pas avoir remarqué que Ray Bradbury dans Fharenheit 451 a fait beaucoup de descriptions, ce que permet la littérature.

Jaquette du DVD du film Fharenheit 451 et le roman de Ray Bradbury 451

Enfant, j’avais remarqué qu’il y avait des différence entre l’histoire du film et du roman. J’avais commencé à lire les romans dont était adapté les film qui passaient à la TV ou au cinéma.

Le film et le livre ont su rendre l’atmosphère d’un monde inquiétant.

Un roman qui fait lire d’autres romans comme un acte de résistance.

« Un homme heureux », un autre roman d’Arto Paasilinna.

En janvier, je me suis encouragé à fréquenter les bibliothèques. J’ai emprunté et lu Le lièvre de Vatanen et puis Prisonniers du Paradis. Ayant aimé ces romans, j’ai emprunté une troisième traduction d’un roman d’Arto Paasilinna : Un homme heureux dont le titre en finnois est Onnelinen mies.

Cette fois-ci, c’est l’histoire d’un ingénieur qui arrive dans le village de Kuusmäki. Il s’appelle Jaatinen. Il chargé de la construction d’un nouveau pont et s’invite au village. Il rencontre de la part de certains habitants de l’adversité. L’histoire raconte l’affrontement de Jaatinen de ces adversités. Elle se lit.

Si on envisage de lire plusieurs livre du romancier finlandais Arto Paasilinna, il vaut mieux lire d’abord Le lièvre de Vatanen avant Un homme heureux pour la continuité dans la lecture.

L’histoire a été écrite en 1976. J’ai aimé cette histoire qui se passe dans un village finlandais.

Couverture du roman Un homme heureux d’Arto Paasilinna.

« Prisonniers du Paradis », un roman d’Arto Paasilinna

Conformément à mon souhait de mon article sur le fait de consulter les bibliothèques pour se cultiver sans encombrer sa propre bibliothèque, j’ai emprunté un roman du finlandais Arto Paasilinna Prisonniers du paradis. C’est une traduction en français du roman en finnois Paratiisiaaren vangit. C’est un livre d’un de 1974 qui décrit une utopie sur une île avec des rescapés d’un crash de leur avion. Il décrit une vie en communauté et dans la nature. L’auteur fait référence à Robinson Crusoë de Daniel Defoe, que j’ai lu en 2020, mais dans l’histoire d’Arto Paasilinna, c’est un groupe d’hommes et de femmes de différentes nationalités qui se retrouvent prisonniers sur une île et qui y organisent la vie. Les nationalité son celle du Nord de l’Europe, Norvégiens, Suédois, Finlandais, et de quelques anglais.

L’histoire se lit et est par moment prenante. J’ai pris un faible risque d’être déçu en l’empruntant à la bibliothèque de Lille et je ne suis pas déçu. J’ai apprécié l’histoire.

J’ai à ce jour lu deux roman d’Arto Paasilinna ce mois de mars : Le lièvre de Vatanen et le livre cité plus haut. Deux histoires où il est question de vivre dans la nature hors des villes.

Je vais remettre le livre en circulation à la bibliothèque.

Le lièvre de Vatanen

J’ai suggéré en janvier de fréquenter les bibliothèques pour se cultiver. J’ai vu un reportage de la chaîne de télévision Arte sur la Finlande d’Arto Paasilinna avec comme fil conducteur son roman Janiksen vuosi de 1975 qui a été traduit en français sous le titre Le lièvre de Vatanen. J’ai entrepris de lire le livre via la bibliothèque de Lille afin de découvrir l’histoire vu dans le reportage de l’émission Invitation au voyage d’Arte. Je l’ai donc emprunté à la bibliothèque.

L’histoire raconte le parcours d’un finlandais nommé Kaarlo Vatanen qui a recueilli un lièvre. Il voyage a travers la Finlande en rencontrant des gens. Abandonne sa vie d’avant pour vagabonder en compagnie de son lièvre. C’est un livre dont la traduction française se lit avec plaisir.

J’ai apprécié la lecture de ce roman à moindre frais car emprunté à la bibliothèque de Lille dont le prêt est gratuit pour les lillois.

Une page de publicité pour SOS Villages d’Enfants

Pour les enfants qui n’ont pas été vraiment gâtés par la vie, il existe SOS Villages d’Enfants qui réunie les fratries dans un village d’accueil avec une mère SOS.

Une bannière provenant de leur site web français.

https://www.sosve.org pour SOS Villages d’Enfants France.

Pour la Belgique, il y a https://www.sos-villages-enfants.be, une brochure pour l’association belge :

Un cheval invisible dans une forêt enchantée au Danemark.

En septembre 2001, à Liselund au Danemark, j’ai fait le vœu d’aller au Paradis.

J’ai demandé à avoir un escalier montant jusqu’au Paradis pour aller au Paradis en étant vivant. Comme je pensais que c’était impossible, j’ai dis dans une autre version de mon vœu qu’on descendra du Paradis dans les Cieux par une butte.

J’ai rouspété sur mon ami ce qui a débouché sur une engueulade avec lui parce qu’on était perdu la nuit dans la forêt de Liselund sans plan et il n’avait pas de lampe de poche. Alors qu’il me faisait des reproches, j’ai arrêté de lui répondre pour calmer l’engueulade. Il me dit « Qu’est-ce que tu as, Eric, pourquoi tu ne parles plus ». Je lui ai répondu « Je veux aller au Paradis. » J’ai commencé en pleine nuit à improviser une chanson sur « Je veux aller au Paradis » et une des dernières phrases de ma chanson était « Je veux un escalier pour le Paradis ! ». Et là, le sentier qu’on empruntait au hasard la nuit débouche sur un escalier géant. On a monté l’escalier. En haut de l’escalier, on a marché dans le ciel pour déboucher dans un monde de verdure dans le Ciel.

Dans ce monde de verdure dans le Ciel. on a vu des anges qui portaient une belle statue sur laquelle était écrit « 1789 » et « A l’amitié pure« . Cette statue portée par des anges a calmé notre engueulade. Voilà ce que nous devons faire : l’amitié pure, c’est la véritable amitié.

Dans le monde dans le Ciel, nous avons eu peur car on a vu un oracle avec les gens des tours jumelles de New York en 2021.C’est une demande que j’ai fait à Dieu après lui avoir demandé de voir si l’Enfer existe. On a vu un cimetière avec des tombes où il y avait que la date 2001 affichée sur les stèles avec aucun nom affiché. Le cimetière a grandi très rapidement dans un énorme vacarme. J’ai eu peur. J’ai été voir les anges et je leur ai demandé « qu’est-ce qui est mieux la vie ou la mort » et je leur ai demandé d’arrêter la tuerie de masse à New York et de faire le moins de victimes possibles en sauvant ceux qui aimaient la vie comme moi. On était la nuit du 11 au 12 septembre 2001 à Liselund. C’est mon ami qui avait demandé à Dieu de de voir les tours jumelles de New York.

Le cimetière qui grandissait à vue d’œil m’a fait vraiment peur. J’ai fuit par le sentier qui était en face de la statue à l’amitié pure car j’ai eu peur de mourir. Mon frère et mes amis m’ont emboité le pas. On a fuit en courant. Dans notre fuite, on a entendu un cri de souffrance d’un animal que je n’ai pas identifié mais l’intonation de l’animal invisible nous disait qu’il souffrait. Cela m’a fait prendre conscience de prêter de l’attention à l’intonation des gens quand ils parlent. On peut avoir de l’empathie pour un animal. Ensuite dans notre dos, on a entendu un cheval invisible galoper. Ce cheval invisible faisait penser à un fantôme. Il nous a doublé et on ne l’a pas vu, on l’a juste entendu. J’ai eu une nouvelle fois peur de mourir à cause du film Sleepy Hollow de Tim Burton. Quand le cheval nous doublé sans nous tuer, j’imaginais un cavalier lui aussi invisible, Je pensais à un cavalier fantôme. Le sentier dans le ciel qui descendait à débouché sur une énorme butte de terre qui nous a remis dans la parc de Liselund sur la voie de notre hôtel.

Comme à Liselund, la nuit, on a eu un monde dans le ciel en montant un escalier et on est descendu du monde dans le ciel par une énorme butte, c’était peut-être un signe du Ciel qu’on était vraiment au Paradis. Le Paradis est un beau monde avec des anges et Dieu nous montre ce qu’on lui demande. Ce monde, le Paradis doit être notre objectif de vie. Aller en Enfer doit être notre hantise pour cela soyons gentils et faisons l’amitié pure.

Vivons en Paix

Je suis passé par Tourcoing, non-loin de la Belgique, pour une incursion en Belgique à Mouscron.

Sur une église de Tourcoing près de la rue de Mouscron, il y avait cette banderole au dessus d’une porte avec un extrait de la Bible.

Une porte d’une église à Tourcoing ce 11 mars 2021.

La Banderole avec le bout de phrase biblique sur la photo était agitée boursouflée par le vent de ce 11 mars 2021 qui a soufflé fort.

« 11 Enfin, frères, soyez dans la joie, cherchez la perfection, encouragez-vous, soyez d’accord entre vous, vivez en paix, et le Dieu d’amour et paix sera avec Vous. 12 Saluez-vous les uns les autres par un baiser de paix. Tous les fidèles vous saluent. 13 Que la grâce du Seigneur Jésus Christ, l’amour de Dieu et la communion du Saint-Esprit soient avec vous tous.

2 Corinthiens 13,11-13. Vérifiable à https://www.aelf.org/bible/2Co/13.

Visiteurs du blog, vivez en Paix et Dieu sera avec vous. Soyons gentils pour allez au Paradis.

Bernadette Després, gentille dessinatrice et illustratrice

Hier, j’ai regardé une vidéo sur Youtube, un vidéo sur l’illustratrice de Tom-Tom et Nana, Bernadette Després.

La vidéo sur Youtube que j’ai vu est la suivante :

Tom-Tom et Nana étaient des personnages de BD dans les magazines J’aime Lire des années 80 et 90.

J’ai trouvé sur Internet son site officiel qui donnait son e-mail. Je lui ai écrit un merci pour avoir bercé mon enfance à travers le magazine J’aime Lire et elle m’a fait une gentille réponse.